A Isabelle Vichniac

 

Quel que soit notre âge, nous avons tous besoin de repères, de buttes témoin, de diapason. Dans le journalisme comme dans l’amitié, Isabelle et Jacques ont été ces repères, ce diapason. C’est à l’amitié de Jacques que je dois d’avoir débuté dans le journalisme, à l’émotion d’Isabelle que je dois d’avoir découvert rue de Beaumont les joies, les malheurs, les combats de tant de nos semblables, à notre porte ou à l’autre bout de la planète. Avec elle, avec eux deux, le monde n’était plus tout à fait le même. Ils m’ont donné le goût, peut-être même le devoir, d’aller à sa rencontre et d’y aller différemment.

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