Je l’ai connue au temps de l’URSS. Une des plus belles peurs froides de ma vie. J’y suis revenu depuis lors, sur l’itinéraire du Transsibérien. La peur m’avait quitté mais les villageois, eux, ne s’en étaient toujours pas affranchis. Y retournerai-je ? Peut-être pour retrouver Voltaire à la Bibliothèque Nationale de Saint-Pétersbourg…