Carnet Carouge 1978
Carouge en 1978, c’était encore un village sarde, ou presque. Les Genevois traversaient l’Arve pour venir s’y encanailler, on écoutait les chansons polissonnes de Jeannot Bader ou les confessions tendres de Madame Bocion, l’épicière éternelle de la rue Saint-Joseph. L’ombre tutélaire d’un autre Josef (Heeb), Vulcain barbu et désespéré, planait sur le café des Négociants. « Je vous parle d’un temps que les gens de vingt ans ne peuvent pas connaître… » (La bohème, Charles Aznavour)
Carnet Carouge 1 (9.1.1978) Un peu d’histoire carougeoise
Carnet Carouge 2 (10.1.1978) La boîte à chansons de Jeannot Bader
Carnet Carouge 3 (11.1.1978) L’épicerie de Madame Bocion
Carnet Carouge 4 (12.1.1978) Madame Bocion, une vie rue Saint-Joseph
Carnet Carouge 5 (13.1.1978) Carouge en mémoire
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