Quand on tient une caméra ou un appareil photo, c’est bien évidemment sur les autres qu’on braque son objectif. Même avec le smartphone que j’utilise de plus en plus souvent, désormais, il ne me viendrait pas à l’idée de faire un selfie. Les rares images de moi sont dont prises par d’autres, presque par accident. Pour la Mongolie, je ne dispose d’aucune image de moi pour les voyages de 1997 et 2007. En 2019, c’est généralement Martina qui a, subrepticement, saisi quelques instantanés. Même imparfaits, ils disent ma profonde affection pour les amis mongols. Les voici.