0 réflexion sur « Images tagged "morinkhuur" »

  1. Bonjour je lis votre histoire. Est ce que Rodica était elle mineure quand vous la séduisais ? Accepterez vous la même chose si c’était votre fille ?

    • Le ridicule ne tue plus. Dommage ! J’avais 27 ans. Rodica en avait 23. Occupez-vous donc de votre propre cul.

  2. Par hasard… Aber… es gibt keinen Zufall, disent les Allemands/Alémaniques.
    J’ai rencontré Denis Allistone il y a cinq siècles.
    Pouvez-vous me transmettre ses coordonnées e-mail actuelles ?
    Arigato gozaimas
    et révérence du soir
    Corinne Desarzens

    Risoux 12
    CH-1004 Lausanne
    c.desarzens@bluewin.ch

  3. Ping : Djanet | Mes bourlingues

  4. Bjour, je suis cavalier endurance et équitation de travail. Je souhaiterais participer à votre transhumances. Merci de me contacter

    • Hélas, ce reportage est déjà ancien et je n’ai plus de contacts directs avec les manadiers effectuant de genre de transhumance. Mais peut-être d’autres lecteurs du site auront-ils des nouvelles plus fraîches…

  5. Beau résumé de sa vie. Par contre je ne comprends pas. ..la date de .. »A Partir de 1870 il se fixe en Provence « dans votre texte. …..

  6. Pour revenir a ces « carnets gauchos »,.. bien que la musique occupe une place importante chez les gauchos et fasse partie de votre experience vecue, je regrette que les intermedes musicaux aient ete aussi longs et nombreux sur l’ensemble des carnets gauchos, me forcant a les passer en accelere pour arriver plus rapidement a la suite des commentaires, qui eux pour le coup etaient tout a fait captivants.

  7. Ce reportage temoigne d’une experience vecue. Cela n’est possible qu’en s’impliquant a fond dans la viequotidienne d’un ranch. En ce qui me concerne, c’est la seule facon de fairre un reportage de ce genre ! Le reste des chapitres sur la conquete de l’ouest, les cowboys et le rodeo sont tres informatifs car traites en profondeur avec le soucis du detail. Etant un passionne de l’ouest americain depuis l’enfance (j’etais un de ceux qui jouaient aux « coboille et aux indiens), j’y ai meme appris que le Pony Express puisait ses racines dans la performance d’un cavalier francais en 1853. Par ailleurs, j’ai trouve fabuleux la possibilite d’ecouter vos commentaires et interviews recoltes pendant votre sejour en Argentine, La narration et l’elocution sont d’une grande qualite. Les descriptions sont detaillees mais jamais ennuyantes, et vivantes,comme si on y etait., meme s’il y a 43 ans ! Merci pour ce beau voyage!

  8. Je viens d’apprendre sur ce site/blog the depart de Maximilien Bruggmann il y a bientot 3 ans. Cela me peine d’autant plus que ses belles images empreintes de realisme dans le livre « Gauchos » ont encore plus attise mon desir de me rendre en Argentine pour y chevaucher a travers pampas et montagnes en compagnie de ces fiers cavaliers.

  9. Site tres bien fait et facile a naviguer. Chaque sujet est traite en profondeur et temoigne d’une recherche importante. Pour les amateurs de photos comme moi, le « cahier photos » separe du reste du livre, est un grand plus.

  10. Immense plaisir ressenti a la lecture de votre recit. Heureuse, aussi, de vous entendre parler de Jean-Claude (Bourgeon), de Chacha, d’Hamou, vieux amis et complices de mes propres bourlingues ( Djanet 1974-1976 puis Niger ). Merci d’avoir fait remonter a la surface de ma memoire de tres chers souvenirs. A votre connaissance, Jean-Claude est-il joignable ?

  11. Les journaux de l’époque laissent entendre que Simonetti ne serait pas l’exécuteur de Joseph Bartoli. Ils mettent évidence que la tête du bandit avait été mise à prix, et la somme en jeux au moment de son exécution aurait  » brulé » fort à popos empechant toute investigation. n’aurait pas été demandée par Simonetti. D’autre part la voiture à bord de laquelle se trouvait Bartoli. Un deal aurait été passé entre la justice et un palnécais alors emprisonné, pour qu’il effectue cette exécution. A ce jour, les informations concernant cette affaire ne sont toujours pas « déclassées »

  12. En juin 1978 je cherchais mon grand père Ramon TABOADA disparu depuis 1950. SA dernière adresse connue:1066 rue ESMERALDA . Pas de grand père mais une rencontre incroyable à quelques centaines de mètres: TATAVE

  13. Bonjour, je cherche l’histoire de Sillonville.,école proche de Nobel Tunisie, créée en 1903 avec Mme Debourg
    Êtes vous au courant,?
    Cordialement
    M Bertolus
    de

    • Hélas non, et je ne saurais pas comment remonter aux sources. Mais peut-être la présence sur ce blog atteindra-t-elle, demain ou plus tard, une personne susceptible de vous donner la bonne réponse…

  14. M. Alex, suis un ami – un peu plus jeune – de Michel BORY. Je suis un passionné d’AUDIO et de VIDEO et je possède une vaste collection d’appareils me permettant de « tout » lire ou « voir » . Si vous avez besoin d’un coup de main pour le transfert de vos ARCHIVES, n’hésitez pas. Je le fais tout à fait bénévolement. Espérant vous rencontrer et vous rendre service, recevez mes amitiés du Jorat vaudois…… j’habite en face de Sarah Dirren et Michèle Durant-Vallade, deux dames bien ancrées dans la RTS la 1ère.

  15. Bonjour, merci pour votre blog qui nous fait voyager. Je cherchais une citation de Martin Fierro et je l’ai trouvée grâce à vous, merci ! Pourriez-vous me dire si la traduction française est de vous ou s’il s’agit de la traduction de Paul Verdevoye, parue en 1955 ? Je vous remercie pour votre réponse.

    • Bonjour et merci de votre message. Il s’agit sans doute, en effet, de la traduction de Paul Verdevoye mais je ne peux pas l’assurer car je n’ai pas – pur l’instant – réussi à remettre la main sur le texte original.
      Au fait, puis-je vous demander ce qui vous amène ainsi sur les traces de Martin Fierro et de l’Argentine « de antes » ?
      Alex Décotte

    • Merci de chercher, c’est très gentil ! Je travaille sur la traduction d’un ouvrage anglais et l’auteur, qui raconte sa vie en Argentine dans les années 60, cite quelques lignes du Martin Fierro (en anglais). J’essaie de trouver la traduction française « officielle » correspondante (celle de M. Verdevoye donc). Merci encore !

  16. Je souhaite entrer en contact avec l’auteur de l’article concernant le ‘bandit’ Matteo Poli (1875-1903) au sujet de sa sépulture. Je suis membre de sa famille …. remerciements

  17. Plus de quarante ans déjà… Et tellement de souffrances…
    J’ai eu la chance de croiser Luis Sepulveda à qui j’ai demandé son avis sur Michelle Bachelet: « Una mujer valiosa y valiente », m’a-t-il répondu.
    Le chemin est encore long, particulièrement pour les étudiants et pour les Mapuches. Suerte à eux tous (et amitiés à toi, Alex).

  18. Hola a todos soy Juan Carlos, un joven setenton que junto a mi amigo Gerardo pasamos muchas y muy felices noches en el boliche de Monsieur Tatave, disfrutando de su grata compania.
    Ya no quedan lugares como ese, donde nos hacia sentir los reyes de la noche. Un saludo a todos los concurrentes del lugar que todavia estan entre nosotros.

  19. Alexadmin, chez Henriette avec Isa et Genia Vichniac, mes Parents, je fus. On vit Manitas, Henriette, et nombre moustiques dans la salle semi ronde. Sans doute devaient-ils penser à vous? Qui êtes vous? Quel bonheur d’évoquer leurs vies! A jamais triste de les avoir perdus. Rachel

  20. Je pense que dans un premier temps , « chez Tatave  » était dans la rue Carlos Pellegrini . ( 1971/2 ) ?

  21. Bonjour,
    Je ne sais pas d’où vous tenez ces remarquables détails de la vie de Cécilien, mais ils ne peuvent venir que de quelqu’un qui l’appréciait. Cécilien était le frère de mon grand-père (mon garnd oncle, donc…) et enfant, j’ai fait quelques virées mémorables dans sa vieille deuche accompagné de Tosca et d ‘autres, autour du Cassieu…
    Merci pour cet hommage.

  22. J’y suis allé en novembre 1978, c’était le refuge des marins français et du personnel de l’alliance française de Buenos Aires. J’ai connu Tatave poussant la chansonnette c’était émouvant, d’autant qu’en France en 1978/1979 c’était le disco ou le hard rock.

  23. Bonjour, J’aurais aimé savoir si il existait des sources concernant la rencontre de la reine Iolla avec Pythéas?
    « Au IIIe siècle av. J.-C., le navigateur marseillais Pythéas fait escale sur la côte sud de l’Armorique. Il y découvre de nombreux ports fort bien organi­sés. Il entre en contact avec Iolla, la reine d’Oues­sant, qui lui remet de l’ambre et de l’étain. Ainsi sait-on qu’à cette époque déjà, les marins bretons connaissent les voies maritimes qui mènent aux richesses du Nord. »
    Merci d’avance! Très bon article.

  24. Je viens de lire avec une grande émotion ton texte sur Josef Heeb avec qui j’ai pris une merveilleuse et mémorable cuite dans les bistros de Carouge.
    Merci pour ce texte.

  25. Bonsoir,
    Vous mentionnez Henry Janières (Raymond Grasset de son vrai nom…!? Auriez-vous de plus amples informations à son sujet? Merci d’avance – Bien à vous – CM.

  26. Pas de tradition véritablement gastronomique »?
    Pas d’accord. Les vertus de la cuisine provençale n’ont même pas besoin d’être chanté.
    Quant au « breuvage des Dieux » plusieurs fois millénaires, chez nous, mériteraient un jugement moins sévère.
    Sans chauvinisme, nos vignerons ont fait d’énormes progrès . Ils sont dignes de figurer, à une autre place que la leur et n’ont pas à rougir de la qualité de leur vin .
    Preuve en est l’achat des meilleurs crus par les spéculateurs « Estrangers » !
    Merci pour ces balades bucoliques en Provence.
    A ben léou !

  27. La cathédrale de Rouen me fait un peu penser à celle de Fribourg depuis la rue de Lausanne… Vu en vitesse pour aujourd’hui… j’y repasserai….
    bien cordialement….

  28. Et aujourd’hui ? Elle est un peu triste ton histoire… Mais qu’allait-il donc faire dans cette Ardèche ? Je dois relire ton beau texte. Afin d’y croire vraiment.

    • Et pourtant c est la. Réalité l Ardèche c était sa vie

  29. Salut mon Voltairien ! De retour de Catalogne, j’ai cliqué sur le reportage que Martine Galland t’a consacré. Vieux filou ! Le gaucho que tu as été en Argentine n’a sûrement pas « méprisé » les belles de Buenos Aires dont j’ai reconnu en son temps le charme, la beauté et la sensualité- Tu aurais pu laisser tes glaouis sur la banquise et te retrouver fossilisé : tu l’as échappé belle ! Ton esprit « rotor » t’a sauvé d’un fâcheux accident d’hélico. De Roumanie tu as ramené une Belle : c’est mieux qu’un dictateur ! Le thé au lait de jument en Mongolie n’a pas eu raison de ta constitution. Ouf ! Au charme des îles, tu as succombé aux rythmes du zouk, du calypso de la salsa et des déhanchements endiablés. Seul le vaudou t’ a incité à marcher sur des œufs (et non sur les braises). J’en prends acte. J’arrête la liste des anecdotes et des souvenirs. Tu reste un bon vivant et un bon reporter. Salut vieille canaille ! Michel

  30. tu peux ainsi ajouter une autre corde à ton arc (si tu ne l’avais pas déjà): « raconteur » ou « conteur » ou « anecdotier ». Merci Alex

  31. Bonjour Alex, J’y étais sur RTS.CH..!
    Je tiens à te remercier pour le très bon moment que tu m’as fait passer.
    Tu as plein d’anecdotes sur tes voyages et tu sais si bien les raconter; je t’écouterais pendant des heures. !
    Ton site internet Bourlingue est fantastique, c’est une mine d’or. Il représente j’imagine, une grande partie de ta vie très riche de voyages et de rencontres.
    Enfin bref, Tu as le don de me faire rêver.
    Amicalement
    Jean

  32. Notre cher Patriarche eût été éminemment excusable, pour avoir probablement été surpris par le bouquet corsé à souhait,d’une dégustation de fendant, honorée à huis-clos et sûrement à fond de cave mais…bibliquement; Bacchus et ses nymphes et dryades lui en tiennent grâce …!

  33. On ne nait pas breton…on le devient petit à petit de jour en jour, mais par le seul choix de sa celte certitude, donc par sa certes celtitude, et en (ré)activant ses propres chromosomes-mémoire reliés aux temps immémoriaux de nos origines diverses, au plan géographique notamment, mais pas seulement !
    Frères et soeurs du vaste monde celte tout entier…degemer mad d’an holl e Breizh! bienvenue à tous et toute en Bretagne.
    Drouiz /// Dwrdan.

  34. J’ai des souvenirs de Gilbratar, quand jeune adulte et bien avant 1969, je suis rentré pour la première fois de ma vie sur un territoire qui relevait de sa gracieuse majesté. Les bobbies sous le casque noir des policemen anglais faisant la circulation alors très fluide et s’évertuant à cacher leur accent espagnol en vous répondant en anglais pas tellement fluent, la bière qui changeait de la cerveza voisine, le cricket joué par des purs britishs aux moustaches blondes ou rousses et ces fameux singes qui chapardaient tout ce qu’ils pouvaient en vous sautant dessus, en fouillant dans vos poches et on avait tout intérêt à bien fermer portières et fenêtres des voitures.

    De l’autre coté de la Linea, c’était Franco et ses excès, sa censure et sa guardia civile. Quel plaisir de lire enfin une presse non bâillonnée. L’Espagne où on achetait les cigarettes à l’unité, tandis qu’ici, on pouvait acheter des cartouches qui devaient être détaxées ainsi que les alcools et bien d’autres objets de consommation.

    La piste d’avion était fermée par ces fameux feux rouges, la vie avait les avantages espagnols, l’humeur décontractée des anglais, heureux de vivre -et bien- sous un beau soleil. Il ne me semble pas que le passage de la Linea était long, mais il faut dire que tous les passages des frontières étaient plus longs que maintenant.

    Bravo pour cet article.

  35. Sympa, donne envie de quand même y faire un saut, car c’est quand même une situation bien particulière, typiquement embrouillée comme cela doit être dans notre chère Europe.
    Juste une toute petite remarque: attention à quelques fautes de frappe, mais là je suis peut-être un peu sévère et je vous prie déjà de m’en excuser!

  36. très intéressant contact au village Wendat lors de mon séjour à Québec, avec Tahourenché le chef d’alors, mais surtout avec « Aronhiahié » l’homme-médecine huron-wendake; communauté de vue avec nos traditions druidiques; Quelle bouffée d’air pur de chaque côté de la « mare aux harengs » !

  37. Magnifique. J’aime tellement le Brésil où je me suis rendue 4 fois, à Nova Friburgo. Mais la 1e fois grand tour, par le Sud (Iguaçu) ensuite le centre Bello Horizonte, Ouro Preto, Brasilia et enfin l’Amazone, Manaus, la jonction des eaux, surprenant, et retour vers Belem, Recife, Salvador, tout cela en cinq sem. de vacances fabuleuses !
    Merci de nous raconter tous ces voyages en nous permettant de vivre cela dans un fauteuil !!
    Amicales salutations, Marie-Sylvie.