L’ancien général Jorge Videla est décédé, vendredi matin, de mort naturelle. En 1977, j’avais voyagé en Argentine, la peur au ventre, à la recherche infructueuse d’une de ses innombrables victimes. Piètre revanche, je me suis ensuite trouvé, en 1985, dans la salle d’audience où la Démocratie, à peine ressuscitée, l’a condamné à la prison à perpétuité…