Je ne sais pas si vous avez jamais assaisonné un riz ou un plat asiatique avec du nuoc mam, cet extrait de poisson dont quelques gouttes suffisent pour empoissonner – sans empoisonner – toute une marmite.
Moi, le nuoc mam, j’adorais ça mais, depuis que j’ai passé dix minutes dans le petit port de Laem Singh, quelques maisons de pêcheurs et quelques barques au bord du golfe du Siam, je sais que je n’en utiliserai plus jamais.